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La marelle Serpentine

Ma ville au quotidien

Publié le 28 avril 2015 par Julien

Le 28 avril, les classes de CE2 et de CM2 de l'école des Entrepôts, dans le 4ème arrondissement de Lyon, ont assisté à la pose de la marelle Serpentine, dernière marelle de l'oeuvre "Le jeu de la vie" de Meschac Gaba. Il est l'un des 13 artistes investi dans le projet Rives de Saône, qui mêle aménagement urbain, art et nature. L'opération a mis la touche finale à cette séquence du projet, située sur le bas-port Gillet. Les élèves ont activement participé à la création de cette oeuvre car ce sont leurs dessins qui sont à l'origine des marelles !

  • La marelle Serpentine

    Le 28 avril, les classes de CE2 et de CM2 de l'école des Entrepôts, dans le 4ème arrondissement de Lyon, ont assisté à la pose de la marelle Serpentine, dernière marelle de l'oeuvre "Le jeu de la vie" de Meschac Gaba © Jacques Léone // Grand Lyon

  • La marelle Serpentine

    Les élèves ont activement participé à la création de cette oeuvre car ce sont leurs 8 dessins qui sont à l'origine des marelles ! Les CE2 en ont réalisé une moitié et les CM2 l'autre moitié © Jacques Léone // Grand Lyon

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    Meschac Gaba est l'un des 13 artistes investi dans le projet Rives de Saône, qui mêle aménagement urbain, art et nature. Un enfant demande ''mais l'art ça sert à quoi ?'' et une camarade lui répond ''à s'exprimer !'' © Jacques Léone // Grand Lyon

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    Tous en rang ! Il est temps d'aller voir la fameuse marelle en cours de réalisation, située sur le bas-port Gillet entre le pont Schuman et la passerelle Masaryk © Jacques Léone // Grand Lyon

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    L'école des Entrepôts se situe juste à côte des Rives de Saône, qui constitue une très belle balade piétonne sécurisée de 1,7 kilomètres © Jacques Léone // Grand Lyon

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    Les élèves font une halte à la ''marelle coeur'' , signée du même artiste, qu'ils connaissent déjà bien © Jacques Léone // Grand Lyon

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    Tous sont impatients d'y être car ce sont leurs propres dessins qui figureront sur la marelle Serpentine © Jacques Léone // Grand Lyon

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    Stéphane Perez-Spiro, le mosaïste, accueille les enfants autour de la marelle © Jacques Léone // Grand Lyon

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    Les mosaïques sont d'abord placées, avant d'être cimentées pour bien les lier entre-elles © Jacques Léone // Grand Lyon

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    Un élève pose le dauphin fait de pierres que le mosaïste a réalisé à partir de son dessin. ''T'es une star maintenant !'' lui lance un camarade © Jacques Léone // Grand Lyon

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    C'est au tour du pélican d'être posé. Il a été difficile à réaliser car il faut prendre en compte l'écart entre le dessin et la réalité matérielle de la mosaïque © Jacques Léone // Grand Lyon

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    Un éléphant vert... pour des raisons techniques ! En effet, gris, il aurait été peu visible après le processus de bétonnage © Jacques Léone // Grand Lyon

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    Idem pour le cheval, dont la crinière était grise sur le dessin mais que le mosaïste a représenté de cette couleur pour lui donner plus de texture © Jacques Léone // Grand Lyon

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    La panthère est délicate à manipuler ! Sa queue et ses longues pattes en petites pierres sont fragiles © Jacques Léone // Grand Lyon

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    On remarque que les couleurs sont disposées harmonieusement dans les différentes cases de la marelle. Pour ''faire stylé en fait'' lance un élève ! © Jacques Léone // Grand Lyon

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    La pièce finale de la mosaïque, la pose de l'aigle, l'animal qui est le plus près du paradis © Jacques Léone // Grand Lyon

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    Stéphane Perez-Spiro explique que dès le lendemain, les mosaïques seront recouvertes de béton qui séchera pendant plusieurs semaines pour bien lier l'ensemble © Jacques Léone // Grand Lyon

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    Les élèves posent leur dessin d'origine à côté des réalisations du mosaïstes. Ils trouvent que l'œuvre finale est plutôt ressemblante © Grand Lyon // Jacques Léone

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    Les deux classes posent fièrement devant la marelle Serpentine © Grand Lyon // Jacques Léone

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    Avant de rentrer, passage devant la marelle ''escargot''. "Quand ce sera bien sec, il faudra poncer le béton et les mosaïques qui sont en dessous apparaîtront'' explique Stéphane © Grand Lyon // Jacques Léone