25 novembre 2024
Plan de déplacements urbains : exprimez-vous grâce à l’enquête publique !
Publié le 12 mai 2017 par la rédaction du MET'
L’élaboration du Plan de déplacements urbains de Lyon (2017-2030) touche à sa fin. Dernière étape, une enquête publique réalisée entre le 15 mai et le 20 juin pour recueillir les avis du public.
Qu’est-ce que le PDU ?
Le PDU (Plan de Déplacements Urbains) est le document qui fixe les objectifs à atteindre pour les prochaines années en matière de mobilité et de déplacements sur l’agglomération. 73 communes sont concernées : les 59 communes de la Métropole de Lyon, les 8 communes de la Communauté de communes de l’Est Lyonnais (CCEL) et les 6 communes de l’ouest lyonnais adhérentes au Sytral (l’autorité organisatrice des transports et des déplacements sur la Métropole).
Avant son adoption définitive par les élus du Sytral, une enquête publique est lancée du 15 mai au 20 juin 2017. Les citoyens pourront prendre connaissance du dossier et formuler des observations dans les registres d’enquête mis à leur disposition :
- Au siège du SYTRAL, 21, Boulevard Marius Vivier Merle 69003 Lyon (siège de l’enquête)
- Dans toutes les mairies des communes (arrondissements pour Lyon) faisant partie de la Métropole de Lyon, de la Communauté de Communes de l’Est Lyonnais et de Brindas, Chaponost, Grézieu-la-Varenne, Messimy, Sainte-Consorce et Thurins.
- Par voie dématérialisée au travers d’un registre numérique dédié sur le site internet du SYTRAL : http://www.sytral.fr/enquete_pdu
Le nouveau PDU
Le Sytral a engagé en 2015 l’élaboration du PDU qui s’inscrit dans la suite logique du PDU 2005-2016. Depuis 2005, la Métropole a accueilli de nouveaux habitants, créées de nouveaux emplois. Pour répondre à ces nouveaux besoins, les services de transports se sont diversifiés et de nouvelles pratiques de déplacements se sont révélées :
En 1995, les habitants de l’agglomération utilisaient la voiture pour plus de 53 % de leurs déplacements quotidiens, aujourd’hui ils sont moins de 44 %
Il s’agit donc d’accompagner ces changements et d’apporter les réponses les plus adaptées aux déplacements des habitants, en phase avec les grands enjeux de l’agglomération lyonnaise.
4 enjeux majeurs de l’agglomération lyonnaise
Le PDU devra répondre à 4 enjeux majeurs :
- Améliorer la qualité de l’air pour réduire l’impact sur la santé des habitants
- Améliorer l’accès de tous les publics aux différents services de transport (équité sociale)
- Adapter les modes de déplacements aux besoins des habitants et des entreprises pour accompagner le développement économique
- Un système de mobilité urbaine pensé pour l’usager et l’habitant
8 axes stratégiques du Plan de déplacements urbains
Le plan d’action s’articule autour de 8 axes stratégiques et décrit 122 actions à réaliser à horizon 2022 ou 2030.
1. Une mobilité sans couture
- Objectifs : faciliter le passage d’un mode de déplacement à l’autre, permettre de choisir le bon mode en fonction du type de déplacement,
- 12 actions,
- Exemples : pérenniser et mieux faire connaitre les applications dédiées à la mobilité (Optimod, Only’moov, application TCL, etc.)
2. Un espace public accueillant et facilitant pour les modes actifs
- Objectifs : 35 % de déplacements à pied et 8 % à vélo en 2030, réduire le nombre de tués et blessés dans les accidents de circulation, favoriser la marche à pied dans un objectif de santé publique,
- 15 actions,
- Exemples : atteindre 1 200 km de pistes cyclables d’ici 2022 et apaiser les vitesses de circulation.
3. Des transports collectifs performants et attractifs
- Objectifs : atteindre 22 % de transports collectifs dans les déplacements (métro, tramway, TER, bus), réduire les nuisances engendrées par les transports collectifs, poursuivre leur mise en accessibilité,
- 23 actions,
- Exemples : mise en circulation de rames supplémentaires sur les lignes de métro B et D, mise en service de rames plus longues sur T4 et augmentation de la fréquence sur les lignes de tramway T1 et T2 à horizon 2022.
4. Une mobilité automobile régulée et raisonnée
- Objectifs : réduire la part de l’automobile dans les déplacements à 35 % d’ici 2030, réduire les émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques, développer le covoiturage,
- 20 actions,
- Exemples : la requalification en boulevard urbain apaisé de l’autoroute A6/A7.
5. Susciter et accompagner le changement de comportement
- Objectifs : développer des outils et des services visant à changer les comportements en faveur de la mobilité durable,
- 11 actions,
- Exemples : organisation d’actions de communication et de sensibilisation, événements et expérimentations pour inciter aux évolutions de pratiques de mobilité quotidienne.
6. Favoriser l’accès à la mobilité pour tous
- Objectifs : offrir des services de mobilité adaptés aux besoins des habitants des quartiers les plus défavorisés, accompagner les publics les plus vulnérables et améliorer les conditions concrètes d’accès aux différents services et infrastructures de mobilité,
- 14 actions,
- Exemples : organisation de parcours découverte à destination des publics les plus fragiles, poursuite de la mise en accessibilité de l’espace public pour les personnes en situation de handicap ou à mobilité réduite.
7. Des transports de marchandise intégrés
- Objectifs : réduire l’impact environnemental des déplacements liés au transport de marchandises, améliorer la connaissance du transport de marchandises et prendre en compte la logistique dans les aménagements et les équipements urbains,
- 16 action,
- Exemples : : création d’espaces logistiques urbains, expérimentation de solutions nouvelles pour faciliter les livraisons, poursuite des dialogues entre les acteurs économiques et les acteurs institutionnels.
8. Modalités de mise en œuvre et financement du PDU
- Objectifs : conforter les échanges et le dialogue entre les différentes institutions concernées, renforcer les complémentarités avec les acteurs privés impliqués dans les politiques de mobilité,
- 11 actions,
- Exemples : implication des habitants et usagers du territoire dans le suivi et la mise en œuvre du PDU.
À la fermeture de l’enquête, une commission rédigera un rapport et formulera un avis sur le dossier en émettant éventuellement, des réserves ou recommandations. Enfin, le projet de Plan de déplacements urbains sera soumis à l’approbation définitive du Comité syndical du SYTRAL, d’ici la fin de l’année.
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V*****O 30 avril 2018
C**************n 26 juin 2017
P****t 11 juin 2017
malgré le prix de revient personnellement je pense que l'intensification du réseau métro en centre ville élargi est le plus adapté au développement de l'agglomération lyonnaise.
'Le métro parisien en est l'exemple type).
Le développement des lignes de tramways devrait desservir les stations de métro en très proche périphérie d’accès au centre urbain.
AP
T*********l 9 juin 2017
Je suis un habitant de Villeurbanne (vers Métro République) et suis un usager quotidien du vélo pour aller à mon travail à la Part-Dieu et autres usages.
Je tiens tout d'abord à signaler l'incohérence des objectifs de ce PDU : 1) baisser la part de la voiture et pourtant s'engager sur l'A45, et dans des études pour l'anneau des sciences qui coûterait 3 Mds € et qui, forcément, entraînerait plus de voitures encore dans et autour de la métropole. 2) multiplier par 4 la part du vélo. C'est très bien mais alors il faut s'engager résolument et encore plus fort dans des aménagements cyclables, amélioration de la sécurité et formation/sensibilisation des automobilistes.
D'une manière plus ciblée, voici maintenant les points sur lesquels j'aimerai attirer votre attention :
- Sécurité des ronds-points : il y a eu 1 mort sur celui de la Doua en novembre 2016, l'automobiliste "n'avait pas vu" la jeune cycliste qui roulait sur le bord extérieur du RP comme le suggérait la bande cyclable. je vous propose 2 améliorations : des chevrons "en plein milieu du rond-point et pas sur le bord. Et que les bandes cyclables "entrantes" arrivent réellement jusqu'au rond-point et ne s'arrêtent pas 5 m avant avec un "céder le passage" aux voitures de la rue entrante, puis ensuite, un 2ème "céder le passage" pour le RP, ceci a minima pour les 2 ronds-points de la Doua et du Totem,
- permettre un franchissement correct de la voie ferrée rue des Emeraudes (entre les Brotteaux et Charpennes) : sous les voies ferrées, il y a actuellement 1 bus dans un sens et 3 voies étroites voitures dans l'autre sens. En supprimant 1 voie voiture, on pourrait faire une voie bus élargie avec vélo, et 1 bande cyclable et 2 voies voitures dans l'autre sens. Puis près de la place Charles Hernu, soit autoriser le passage des vélos sur les voies de tram (ce que beaucoup de vélos font déjà), soit matérialiser une bande cyclable en plein milieu de la rue pour permettre de poursuivre vers la rue Gabriel Péri,
- permettre également un franchissement correct sous les voies ferrées, avenue Verguin entre le cours André Philips et le lycée du Parc : il y a actuellement 1 voie dans un sens et 3 voies dans l'autre. En supprimant 1 voie, on pourrait passer à 1 bande cyclable dans chaque sens, et 1 voie voiture dans un sens, et 2 voies dans l'autre.
- mettre une bande cyclable sur le cours de la république (2 sens) de manière à assurer une continuité Nord/Sud entre le campus de la Doua et le Totem et place des maisons neuves.
Enfin, quelques suggestions générales :
- généraliser le plus possible les contre-sens cyclables et les "tourne à droite",
- faire mieux respecter le 50 km/h en ville, par exemple cours Emile Zola, puis ensuite étendre les zones 30, mais avec une réelle information et sensibilisation des automobilistes,
- permettre le transport des vélos dans le tram, notamment le T3, quitte à faire évoluer la conception des voitures ! Ca existe dans les pays étrangers (Allemagne, ...), donc c'est possible et ça permettrait aux habitants de la périphérie qui habitent à 1 ou 2 kms de la ligne T3 de rejoindre le tram en vélo, prendre le tram, puis poursuivre à Lyon en vélo (au lieu de prendre leur voiture).
Cordialement
J************e 30 mai 2017
Le telepherique reviendrait ,nous dit on ,beaucoup moins cher à l usage que des rotations de bus ,pour une fréquence comparable à celle d un metro...Donc que la ville de Lyon n hesite pas a communiquer sur le sujet!
J************e 30 mai 2017
Z********************e 27 mai 2017
Si possible interdir les poids lourds même le samedi au périphérique.
Pour encourager les gens à pédaler, proposer une réduction d'impôts
Bon courage
r**x 26 mai 2017
En ce qui concerne les déplacements urbains, je pense qu'il manque des ponts ou tunnels des bacs pour traverser le rhône et la saöne. toutes les voitures et les bus doivent se diriger vers les rares ponts pour traverser l'agglomération, cela crée des trajets supplémentaires et une accumulation de véhicules sur ces zones. Personnellement, je n'utilise que les transports en commun et je trouve que ceux de l'agglomération sont assez rares et lents comparé à d'autres villes où j'ai habiter auparavent comme Genève, Strasbourg, Rueil-Malmaison, Lille...
J************e 30 mai 2017
E***************E 19 mai 2017
Lyon peut faire beaucoup plus à l'exemple de Bâle 25% (avec une configuration identique).
L'exemple de Groningen est aussi à regarder avec attention : ils ont mis en place une politique où les temps de déplacement deviennent franchement en faveur du vélo ou à pied. Les commerçants menaçaient de quitter le centre ville. Et maintenant tout le monde est ravi de pouvoir s'arrêter devant son commerce et siroter son verre dans une rue calme et respirable.
C'est aussi le cas des berges du Rhône : qui voudrait revenir en arrière ?
Cumulé avec des transports de marchandises et de personnes électriques ou au gaz naturel, on pourra respirer dans nos villes !
B***************e 17 mai 2017
Il en est de même pour le transport de voyageurs (LER, transports scolaires dont la métropole est organisatrice) et pour lesquels l'électrique n'est pas la solution. On peut ajouter à cette liste les BOM dont la motorisation GNC présente l'avantage d'une diminution substantielle du bruit dans un domaine ou le bruit des camions le matin est un des principaux facteurs de mécontentement
Pour conclure dans le mix de la mobilité, il y a de la place pour tous et le GNC pour certains usages est LA solution
B*****e 17 mai 2017
Le gaz ne génère que très peu de particules et contribuera demain à l'amélioration de la qualité de l'air dans les villes.
C*****e 17 mai 2017
Dédier des voies spécifiques pour les vélos (et pas dans une voie de bus ou sur la route où très souvent les voitures sont garées en double file et mettent en danger les cyclistes).
Pourquoi ne pas s'inspirer des fameuses "autoroutes vélo" qui fleurissent dans les capitales européennes ?
s************e 17 mai 2017
B******e 17 mai 2017
J************e 30 mai 2017
G*****N 16 mai 2017
Et notamment par des verbalisation systématique de la circulation dans les voies de bus et pistes cyclables et le stationnements de véhicules terrestres à moteur dans ces voies.
J************e 30 mai 2017
P****i 16 mai 2017
Cet axe est sur saturé chaque jour avec plusieurs km de bouchons, nombre de véhicules du sud ouest lyonnais s'y retrouvent afin d'accéder au centre de Lyon. La prolongation jusqu'à Oullins a permis à nombre de travailleurs de délaisser leur voiture au profit du métro. Le jour où le métro sera accessible aux abords de l'A450, il est évident que le nombre de véhicules entrant dans Lyon diminuera de façon notoire. Le budget de cette prolongation devrait être mis en rapport avec la question de la pollution et de la santé publique. La prolongation déjà prévue jusqu'à Lyon sud est une bonne chose mais n'aura pas de réelle incidence sur le trafic de l'A450
J************e 30 mai 2017
E***r 16 mai 2017
- Associer l'ensemble de l'agglomération, proposer un plan global & cohérent (pas comme en région parisienne). Les communes limitrophes et bien au-delà sont celles où les gens utilisent le plus leur voiture. Offrir à ces personnes des trajets sécurisant voire agréable c'est la garantie d'avoir moins de voitures sur les grands axes et petites rues lyonnais.
- faire des aménagements de qualité : les bandes cyclables, les "pistes" sur trottoir, celles qui finissent nulle part & obligent à réemprunter un axe routier, celles qui servent de parking auto seront boudées par les vélotafeurs potentiels. Ces axes structurants, qui permettent d'accueillir beaucoup de cyclistes, devront notamment faire oublier les trajets vallonnés de l'ouest lyonnais et faciliter la vie des cyclistes.
Ne pas faire les choses à moitié c'est la garantie de devenir une ville cyclable par des investissements bien inférieurs à ceux que demandent les transports en commun et encore moins ceux des infra routières
P****e 15 mai 2017
Merci de développer largement tout ce qui peut favoriser la pratique du vélo.
Merci de favoriser tout ce qui peut contraindre un automobiliste à repenser son mode de déplacement par un mode doux.
Augmenter intensément les moyens de verbalisation systématique des incivilités.
Faire tout le nécessaire pour que la proche banlieue soit très facile d'accès en vélo.
Tenir un registre des entrées et sorties de la ville pour informer des automobilistes extérieurs sur l'impact de leur pollution de sur les habitants intramuros
S******* 15 mai 2017
Et surtout aussi faire en sorte que cela soit respecté. Je ne connais pas une seule piste cyclable à Lyon qui n'ait pas été obstruée par un véhicule à moteur au moins 1 fois par semaine.
N'oubliez pas non plus une piste cyclable sécurisée dans la montée du chemin neuf vers le plateau du point du jour, également sur choulans. Il reste tellement de points noirs où la voiture reste reine!
Trop d'automobilistes pensent encore que circuler en voiture reste le meilleur moyen de locomotion. Il faut éduquer encore et encore.
Quant aux transports en communs, quid des bus hybrides qu'on a pu voir circuler en test il y a quelques années ? Actuellement les transports en commun coutent cher, polluent et détériorent la chaussée, celle-là même qu'on autorise parfois les cyclistes à emprunter (mais il faut slalomer entre les trous, c'est hyper dangereux).
J************e 30 mai 2017
l********s 15 mai 2017
Mais ça n'est pas suffisant.
Les infras vélo c'est peu cher, peu d'entretien, et ça rapporte gros: meilleure santé publique, salariés moins malades, moins de pollution...
Il manque encore des axes structurants où les usagers se sentent en sécurité, femmes (plus sensibles au danger ressenti selon études) ou enfants.
Axes structurants:
- La piste cyclable T4 devrait se poursuivre jusqu'à la Doua, ça ferait un deuxième axes Nord-Sud en plus des berges du Rhône
- Une deuxième PC Est-Ouest en double sens: interdire Tronchet aux Voitures et la transformer en axe piéton/vélos ? Trouver un peu de place sur Roosevelt pour y mettre une piste cyclable ?
- Le projet part-dieu pense trop peu vélo, c'est une erreur majeure.
En dehors de Lyon/VIlleurbanne les autoroutes/périphérique empêchent d’accéder au centre ville pour aller travailler. Alors que dans un rayon de 6-15km si l'infra est là, avec un vélo-VAE plus besoin de prendre sa voiture ou d'encombrer les TC qui coûtent chers à la collectivité.
Exemples:
- Vaulx-Villeurbanne: en dehors de la PC du T3, il n'y a rien qui ne présente pas de danger. Les nouvelles bandes cyclables d'Emile Zola sur Villeurbanne accueilleraient pourtant bien les vaudais !
- Tassin-Lyon: Choulan et Chemin Neuf sont très peu praticables à vélo. Marietton(Lyon)/Victor Hugo(Tassin): ni bande cyclable, ni piste + rond-point du Vavlert une horreur.
- Oullins-Lyon: manque le sens Oullins->Lyon et un parcours sécurisé du centre ville d'Oullins.
Parkings vélos: il en manque partout.
- Pourquoi ne pas profiter de la nouvelle loi sur les places de parkings interdites dans les 5m passages piétons ?
- Dans les gares: rien de sécurisé à Perrache, ni à Part-dieu (projet semble trop peu ambitieux)
J************e 30 mai 2017
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A*********z 15 mai 2017
Résident 31 rue Sœur Bouvier 69005 (secteur Saint irénée), père de famille et utilisant quotidiennement mon vélo pour des trajets professionnels (trajet logement vers gares de Perrache ou d'Oullins puis retour (je suis médecin à Saint Etienne)) ou personnels (principalement entre mon logement et le secteur Presqu'île), je souhaiterais beaucoup le développement de "pistes cyclables" (notamment montée du chemin neuf) et de signalétique adaptée (comme l'a très intelligemment fait la commune d'Oullins avec les panneaux permettant aux vélos de passer aux feus rouges quand le carrefour le permet).
Merci d'avance et merci pour le développement impressionnant que vous avez effectués ces dernières années pour les vélos !
Bien cordialement
J************e 30 mai 2017